Déjà le titre m’interroge : interdiction au singulier et les courses au pluriel …moi je pensais bêtement qu’il y avait la course à pied tout simplement!
Ensuite l’interviewé veut un débat…
Ensuite il liste tout un tas d’affirmations sur les règlements et les interprétations qui en sont faits (ou qu’il en fait !)…
Puis le journaliste pose la question :
Des succès qui dérangent ?
Et l’interviewé de déclarer : Cela irait-il à l’encontre de certains intérêts ? Lesquels ?
Y aurait-t-il un complot ?
Puis vient l’accusation qui tue :
Lorsque les jeunes seront vautrés sur les canapés devant les écrans plasmas en ingurgitant des hamburgers et en buvant du coca la paix sociale sera assurée par l’abrutissement général.
Ouaouh ! Et il continue :
Quant à la santé publique, …il n’y aura plus que des jeunes concernés au mieux par le surpoids et au pire par l’obésité.
Et bien dit donc !
Donc en respectant des règlements, qui ne sont quand même pas établi que par des demeurés, on serait responsable de la crétinisation des masses et des problèmes de santé publique !
Ici on « pousse la mamé dans les orties » !
Mais le mieux est pour la fin :
Dans ce pays, il se trouve toujours des groupes de personnes prêtes à tout pour faire appliquer des directives au delà même de ce qu’elles prévoient initialement.
Ouaouh ! C’est Vichy !
Eh camarade, tu es donc un bouillant président mais tu pousses le bouchon un peu loin, car moi je peux te dire :
Dans ce pays, il se trouve toujours des groupes de personnes prêtes à tout pour critiquer, critiquer, critiquer !!!
Mon point final sera le suivant : j’aime bien quand je lis un article de presse que cet article soit signé. Ici ce n’est pas le cas. Pourquoi ?
Peut être comme il est dit plus haut : Cela irait-il à l’encontre de certains intérêts ? Lesquels ?